Film : Melancholia

Melancholia de Lars Von Trier (2011)





  • Chronic'art 

    3
    On sait quel « événement » vint redoubler à Cannes 2011 la présentation officielle de Melancholia - un coup de provoc' sans trop de conviction au sujet d'Hitler et de l'esthétique nazie, qui valut à Lars Von Trier d'être déclaré persona non grata, (...). Aujourd'hui encore, alors que le film sort en salles, acclamé un peu partout, on feint de s'étonner : mais quelle mouche a piqué le Danois pour se saborder de la sorte, lui qui signait là son film, peut-être le meilleur, un film en tout cas moins roublard qu'à son habitude, un film qui, pour une fois, suscitait un enthousiasme presque unanime dans les rangs de la profession

    Nouvel Obs 

  • 3
    Sous les oripeaux de la science-fiction, "Melancholia" distille une vision du monde désenchantée, observation de notre réalité quotidienne par un dépressif nihiliste.

    Les Cahiers du cinéma 

  • 4
    Qui touche à la mélancolie, la vraie, prend le risque de tomber dans une eau lourde et d'y perdre tous ses repères. En ce sens Melancholia prend place au rayon de grandes oeuvres sur le sujet, quelque part entre le Problème XXX d'Aristote et la fameuse gravure de Durer.

    StudioCiné Live 

  • 4
    La fin du monde sublimée par Lars Von Trier dans un film subjuguant de beauté.

    Le Figaro 

  • 4
    L'Apocalypse selon Lars Von Trier ressemble à un drame intime qui se joue en famille. (...) Melancholia est une œuvre crépusculaire et onirique sur la fin du monde.

    Le Figaro 

  • 3
    Melancholia envoûte, subjugue, déconcerte. (...) Quel choc ! La fin du monde ? Il n'y a rien de plus beau. Il faut attendre l'apocalypse en compagnie de Lars Von Trier.

    Les Inrocks 

  • 3
    Melancholia est loin d'être parfait mais reflète l'état physique actuel du monde en nous envoyant des éclats de cinéma déjà inoubliables.
  • Libération 

  • 3
    C’est à la fois le cinéma dans la pleine puissance de ses moyens et un constat du monde, de l’air, des hommes, qui ne saurait se consoler de rien. Von Trier est un faux provocateur, et l’incurable Melancholia, l’absolu contraire d’une provocation.

    Mad Movies 

  • 2
    En dépit du caractère spectaculaire du final, la courbe de l'oeuvre redescend ainsi lentement vers le point zéro. Ensuite, c'est le néant.


  • L'Express 

    1
    Ce type a un talent énorme et un esprit embrouillé de mille choses qui parasitent son intelligence autant qu'elles exacerbent ses provocations. Mais, il en faut pas non plus, tout pardonner à un artiste. "
  • Le Monde 

    4
    Ce film magnifique, de ceux dont la vision restera gravée en nous, témoigne une fois encore de la stupéfiante disposition de Lars Von Trier à faire voir son univers à travers une expression plastique constamment inventive, constamment renouvelée